Aujourd’hui, dans l’évangile, Jésus nous invite à prier Dieu sans cesse et à lui présenter nos demandes, sûrs qu’il répondra à notre demande confiante. Pourtant beaucoup se demandent si Dieu entend nos demandes ? Ils auraient, disent-ils, bien de raisons d’en douter ! Mais la vraie question ne serait-elle pas : que sont donc nos prières ?
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13° dimanche temps ordinaire C
Nous voici, en ce dimanche, invités à vivre la vraie liberté. Mais cela ne saurait être le résultat d’un événement tout extérieur, permettant soudain à chacun d’échapper à ses pesanteurs. Cela ne peut survenir qu’au terme d’un long cheminement intérieur donnant à celui qui le vit de se défaire de tout ce qui l’attache à lui-même.
7° dimanche de Pâques C
n ce 7° dimanche de Pâques approfondissons le lien très fort entre amour de Dieu et amour des frères, communication et communion avec Dieu et communication et communion entre frères.
4° dimanche de Carême année C
En ce 4e dimanche de Carême, nous avons entendu le très bel évangile selon Saint Luc, qu’on a coutume d’appeler la parabole du fils prodigue. Je l’ai sûrement déjà dit, mais je rappelle que ce passage du chapitre 15 de l’évangile de Luc est précédé de deux courtes paraboles : celle d’un homme dont une de ses cent brebis s’est égarée. L’ayant retrouvée, il fait la fête. Suit celle d’une femme qui a perdu une pièce sur dix. L’ayant retrouvée, elle fait la fête. Cela donne encore plus d’importance à la joie du père qui a perdu un fils sur deux et nous aide à comprendre la grandeur et la densité de l’amour de Dieu pour chacun de nous. Oui Dieu aime chacun de nous comme ce père aux deux fils.
3° dimanche temps ordinaire année C
Dans la synagogue, au milieu de gens dont plusieurs le connaissent, Jésus ose annoncer que toutes les promesses de Dieu annoncées par les prophètes, se réalisent avec lui. C’est le caractère présent de cette réalisation qu’entend annoncer Luc.
Homélie 25° dimanche temps ordinaire année B
J’apprécie l’évangile de ce jour. J’imagine le cadre, cette Galilée, pays de collines, région verte du pays, qui contraste avec la rude Judée au sud, qui s’ouvre sur un désert. Dans ce cadre paisible, au creux d’un vallon, car Jésus ne veux pas qu’on sache qu’il traverse la contrée, il livre à ses disciples le cœur de son enseignement : « Le Fils de l’homme est livré aux mains des hommes ; ils le tueront et, trois jours après sa mort, il ressuscitera. » Tout est dit ! « Mais, ajoute Marc, les disciples ne comprenaient pas ces paroles et ils avaient peur de l’interroger. » Oui, ils avaient peur de comprendre ! […] Et si cette même question, Jésus nous la posait aujourd’hui ?